[Smetlov] Juste pour une tête
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[Smetlov] Juste pour une tête
[...]
Selene eut bien du mal à refermer la porte dans son dos du bout de son pied. Sa bouche n'était plus qu'un brasier sans fin que la langue du jeune Ivari ravivait sans cesse. Les lèvres de ce dernier embaumaient encore la myrtille. Il n'avait pas eu le temps de finir sa part de tarte qu'un simple regard de la douce Selene l'avait littéralement foudroyé sur place, ne laissant aucune issue à sa passion. La langue de la jeune humaine rappelait à chaque frisson les notes du Dalaran blanc qui avait accompagné ce repas trop long et trop court.
La douce apposa une main tendre sur la poitrine battante d'Ivari, lui adressa un regard malicieux et rêveur avant de le pousser brutalement contre le lit. L'humain pris par surprise ne put que butter contre ce dernier et s'effondrer sur le dos. Selene se glissa à ses côtés pour envoyer une main agile ôter un à un les boutons de sa chemise tandis qu'elle couvrait sa gorge de baisers brûlants. Ivari l'étreignit dans ses longs bras et la renversa sur le côté. Il adressa un regard espiègle à la jeune femme alors qu'il apposait un index sur la bouche de cette dernière, capturant un souffle ardent de ses lèvres entrouvertes.
Ivari s'engagea dans un profond baiser à s'en brûler les veines, baiser qu'il brisa dans un goût de trop peu en ôtant la tunique de Selene. Il contempla un instant la poitrine de la jeune femme en refusant de mesurer la chance qu'il avait en cet instant et aborda un de ses tétons durcis d'un baiser. Le cœur de Selene battait trop fort dans une poitrine aussi petite. Les vigoureux coups de langue d'Ivari ne faisaient rien pour la soulager en ce sens. Elle glissa ses mains dans les cheveux de l'humain comme pour s'extraire du feu qui consumait désormais son torse, mais Ivari aborda l'autre mamelon avec gourmandise qu'il se partagea entre baisers tendres et coups de langues vivaces. Selene sentit son souffle court et haletant tandis qu'elle vit le regard mutin d'Ivari s'éloigner de sa poitrine.
L'humain, genoux au sol, laissa glisser ses mains sur le ventre brûlant de la douce pour ensuite défaire cordons et boutons du pantalon de la jeune femme. Il l'ôta ainsi que ses bas avec patience comme pour calmer ses propres ardeurs, mais la vue de l'intimité finement rebondie de Selene l'affligea à l'embrasser avec tendresse. Ivari laissa d'abord sa langue parcourir avec lenteur les lèvres de l'humaine, la faisant se cambrer légèrement comme pour échapper à une brûlure irrépressible. Il s'attarda ensuite sur son bouton et reposa ses fines mains sur les cuisses de Selene. Le ballet de sa langue accompagnait les caresses de ses doigts. L'humaine se sentit à la fois piégée et libérée alors que ses poumons s'encombraient d'un linceul ardent. Ses cuisses et son bassin commencèrent à trembler, son souffle se fit palpitant, ses gémissements trahirent les flammes qui dévoraient lentement son âme. L'humain parcourait désormais la bouche de l'humaine de sa langue dans un appétit renouvelé et insatiable. Un frisson démesuré calcina de désir les membres de Selene, ce qui la fit se redresser aussitôt.
Elle envoya un regard réprobateur et coléreux à Ivari qui ne put cacher sa surprise. Selene se jeta aussitôt sur le jeune homme pour le plaquer dos au sol dans un bruit sourd. Elle arracha son pantalon de soie sans détour ainsi que ses bas pour faire face à la rigide virilité d'Ivari. Le jeune homme ne put s'empêcher d'émettre un petit rire comme pour effacer la peur passée et laissa sa tête lourdement retomber contre le parquet, détendu. Mais ses épaules se crispèrent à nouveau. Selene venait d'enfoncer ses dents dans une sensible extrémité, pas assez pour faire crier l'humain, mais suffisamment pour qu'il soit paralysé dans une insoutenable tension, jambes en l'air, côtes soulevées. La jeune femme lâcha son emprise après de longues secondes, laissant les membres du jeune homme retomber comme un pantin ayant perdu ses ficelles, puis ria à son tour avant d'embrasser le membre vigoureux d'Ivari. Ce dernier dans un sourire mauvais attrapa Selene par les épaules et la retourna contre le sol. L'humaine profita de l'élan pour continuer à tourner et laisser Ivari dos contre le sol. Une écharde vint se ficher dans l'épaule de ce dernier, mais il était trop tard pour gémir.
Selene lui coupa le souffle en s'installant à califourchon sur lui. Sa virilité était sienne désormais, au creux de ses lèvres. Elle asséna un coup de rein brusque, puis plusieurs plus mesurés dans un rythme de plus en plus frénétique. La passion de mille enfers se déchainait au travers des courbes de Selene. La sueur coulait le long de sa colonne et retenait quelques longs cheveux au passage. Elle se mordait les lèvres pour retenir ses gémissements plaintifs mais le désir l'avait terrassée. La poussière se mêlait au dos d'Ivari dans un écrin de sueur, chaque à-coup le vrillait d'un douloureux plaisir. Il sentait la fureur brûlante parcourir le creux de son aine, prête à jaillir dans une libération trop éloignée.
Les poumons de l'humaine crachaient un souffle entrecoupé et ardent, son cœur allait sortir de la poitrine, ses genoux commencèrent à être meurtris par le bois. Rien ne devait arrêter les flammes qui la consumaient toute entière. Ivari, tremblant et haletant de désir incontrôlé et bestial, trouva les dernières force pour étreindre Selene. Il sentit le cœur de la demoiselle battre douloureusement contre sa poitrine et répondit à l'unisson contre son sein malgré lui. Il l'embrassa trop hâtivement dans le cou avant de la faire basculer en arrière pour plaquer son dos contre le bois. Il souleva ensuite les jambes de l'humaine pour les coincer au dessus de ses épaules suintantes, partageant un regard épuisé et plaintif avec la jeune femme. Ivari s'enfourna à nouveau d'un coup sec dans un brasier qui avait déjà pris raison de lui. Selene ouvrit grand la bouche pour laisser jaillir son plaisir et sa douleur, mais aucun son ne sortit de son visage glacé par une tension insoutenable. Le jeune homme multiplia de large coups de reins et chaque claquement contre les fesses de l'humaine lui arrachait des gémissements inévitables.
Selene habitée complètement par une tension indicible resserra ses jambes autour du dos d'Ivari, comme pour le rapprocher au plus près de lui, l'avaler entièrement. Elle plongea ses ongles dans les épaules de l'humain comme pour ne plus jamais le relâcher. Ce dernier, de douleur et de plaisir, asséna un coup de rein d'autant plus profond et se rapprocha de l'humaine pour lui mordiller l'oreille dans un râle plaintif. Selene ne retint plus la fureur qui galvanisait ses membres et cria alors que son sang n'était plus que flammes. Rien ne parvenait à arrêter ses tremblements. La sueur glacée ruisselait de son ventre et glissait sur le torse embrasé d'Ivari. L'humain ne parvenait presque plus à respirer à cause de son souffle incontrôlé et chaque mouvement était un enfer. Rien ne pourrait plus chasser la tension qui l'habitait. Il gardait sa main sur le sein de Selene pour préserver un peu de douceur puisque son corps ne lui offrait plus aucun répit, littéralement immolé par le désir.
Un cri déchirant.
Selene se cambra, tremblante, alors que le plaisir dévorait chaque parcelle de son corps impuissant. Les traits d'Ivari se crispèrent également. Son corps n'était plus qu'une carcasse soutenue par un désir enfiévré. Il s'avança rapidement pour embrasser ardemment l'humaine. Lorsque sa langue rencontra celle de Selene, sa fureur jaillit au creux de l'humaine. Une petit mort naquit de ce baiser épuisé.
Ivari s'effondra aux côtés de la demoiselle, reprenant tous deux difficilement leur souffle. Ils partagèrent un regard dont le silence ne fut brisé que par leur souffle haletant, puis échangèrent un rire et un simple baiser. L'humain réunit ses dernières forces pour soulever Selene et il la déposa encore suintante au creux des draps de son lit. Ivari s'allongea ensuite auprès d'elle, laissa sa sueur rencontrer celle de l'humaine et sa virilité maintenant reposée dans le creux de ses fesses. Son long bras étreignit la poitrine de l'humaine, qui elle se plaqua contre le torse du jeune homme, écoutant silencieusement son souffle court. Elle pouvait sentir les battements de son cœur contre son dos, apaisés, réguliers. Touts deux se contentèrent d'écouter le souffle de l'autre, main dans la main, laissant la nuit les apaiser.
Alors que le soleil ne s'était pas encore levé, Ivari s'éloigna avec une infinie douceur de Selene pour se lever et marcha à pas feutrés au travers de la pièce. Il se rapprocha de l'unique commode et se mordit la lèvre comme si cela pouvait empêcher la porte de grincer. Au bas de la commode, il distingua un petit pot de terre cuite. D'un geste lent, il ouvrit le pot et vida la poudre contenue dans celui-ci au travers d'un défaut du parquet. Ivari savait que Selene utilisait ces herbes finement broyées à des fins contraceptives. Il saisit la besace qu'il avait laissé près de la commode en début de soirée pour en sortir un bocal contenant une poudre de couleur similaire, mais parfaitement inutile. Il vida ce même bocal dans le pot en terre cuite avant de renfermer lentement ce dernier et le ranger silencieusement dans la commode. Ivari rangea enfin le bocal et revint se rallonger près de Selene toujours assoupie.
"Merci mon ange." murmura Ivari avec tendresse alors qu'il se colla doucement contre l'humaine, sa main posée sur la sienne.
Selene eut bien du mal à refermer la porte dans son dos du bout de son pied. Sa bouche n'était plus qu'un brasier sans fin que la langue du jeune Ivari ravivait sans cesse. Les lèvres de ce dernier embaumaient encore la myrtille. Il n'avait pas eu le temps de finir sa part de tarte qu'un simple regard de la douce Selene l'avait littéralement foudroyé sur place, ne laissant aucune issue à sa passion. La langue de la jeune humaine rappelait à chaque frisson les notes du Dalaran blanc qui avait accompagné ce repas trop long et trop court.
La douce apposa une main tendre sur la poitrine battante d'Ivari, lui adressa un regard malicieux et rêveur avant de le pousser brutalement contre le lit. L'humain pris par surprise ne put que butter contre ce dernier et s'effondrer sur le dos. Selene se glissa à ses côtés pour envoyer une main agile ôter un à un les boutons de sa chemise tandis qu'elle couvrait sa gorge de baisers brûlants. Ivari l'étreignit dans ses longs bras et la renversa sur le côté. Il adressa un regard espiègle à la jeune femme alors qu'il apposait un index sur la bouche de cette dernière, capturant un souffle ardent de ses lèvres entrouvertes.
Ivari s'engagea dans un profond baiser à s'en brûler les veines, baiser qu'il brisa dans un goût de trop peu en ôtant la tunique de Selene. Il contempla un instant la poitrine de la jeune femme en refusant de mesurer la chance qu'il avait en cet instant et aborda un de ses tétons durcis d'un baiser. Le cœur de Selene battait trop fort dans une poitrine aussi petite. Les vigoureux coups de langue d'Ivari ne faisaient rien pour la soulager en ce sens. Elle glissa ses mains dans les cheveux de l'humain comme pour s'extraire du feu qui consumait désormais son torse, mais Ivari aborda l'autre mamelon avec gourmandise qu'il se partagea entre baisers tendres et coups de langues vivaces. Selene sentit son souffle court et haletant tandis qu'elle vit le regard mutin d'Ivari s'éloigner de sa poitrine.
L'humain, genoux au sol, laissa glisser ses mains sur le ventre brûlant de la douce pour ensuite défaire cordons et boutons du pantalon de la jeune femme. Il l'ôta ainsi que ses bas avec patience comme pour calmer ses propres ardeurs, mais la vue de l'intimité finement rebondie de Selene l'affligea à l'embrasser avec tendresse. Ivari laissa d'abord sa langue parcourir avec lenteur les lèvres de l'humaine, la faisant se cambrer légèrement comme pour échapper à une brûlure irrépressible. Il s'attarda ensuite sur son bouton et reposa ses fines mains sur les cuisses de Selene. Le ballet de sa langue accompagnait les caresses de ses doigts. L'humaine se sentit à la fois piégée et libérée alors que ses poumons s'encombraient d'un linceul ardent. Ses cuisses et son bassin commencèrent à trembler, son souffle se fit palpitant, ses gémissements trahirent les flammes qui dévoraient lentement son âme. L'humain parcourait désormais la bouche de l'humaine de sa langue dans un appétit renouvelé et insatiable. Un frisson démesuré calcina de désir les membres de Selene, ce qui la fit se redresser aussitôt.
Elle envoya un regard réprobateur et coléreux à Ivari qui ne put cacher sa surprise. Selene se jeta aussitôt sur le jeune homme pour le plaquer dos au sol dans un bruit sourd. Elle arracha son pantalon de soie sans détour ainsi que ses bas pour faire face à la rigide virilité d'Ivari. Le jeune homme ne put s'empêcher d'émettre un petit rire comme pour effacer la peur passée et laissa sa tête lourdement retomber contre le parquet, détendu. Mais ses épaules se crispèrent à nouveau. Selene venait d'enfoncer ses dents dans une sensible extrémité, pas assez pour faire crier l'humain, mais suffisamment pour qu'il soit paralysé dans une insoutenable tension, jambes en l'air, côtes soulevées. La jeune femme lâcha son emprise après de longues secondes, laissant les membres du jeune homme retomber comme un pantin ayant perdu ses ficelles, puis ria à son tour avant d'embrasser le membre vigoureux d'Ivari. Ce dernier dans un sourire mauvais attrapa Selene par les épaules et la retourna contre le sol. L'humaine profita de l'élan pour continuer à tourner et laisser Ivari dos contre le sol. Une écharde vint se ficher dans l'épaule de ce dernier, mais il était trop tard pour gémir.
Selene lui coupa le souffle en s'installant à califourchon sur lui. Sa virilité était sienne désormais, au creux de ses lèvres. Elle asséna un coup de rein brusque, puis plusieurs plus mesurés dans un rythme de plus en plus frénétique. La passion de mille enfers se déchainait au travers des courbes de Selene. La sueur coulait le long de sa colonne et retenait quelques longs cheveux au passage. Elle se mordait les lèvres pour retenir ses gémissements plaintifs mais le désir l'avait terrassée. La poussière se mêlait au dos d'Ivari dans un écrin de sueur, chaque à-coup le vrillait d'un douloureux plaisir. Il sentait la fureur brûlante parcourir le creux de son aine, prête à jaillir dans une libération trop éloignée.
Les poumons de l'humaine crachaient un souffle entrecoupé et ardent, son cœur allait sortir de la poitrine, ses genoux commencèrent à être meurtris par le bois. Rien ne devait arrêter les flammes qui la consumaient toute entière. Ivari, tremblant et haletant de désir incontrôlé et bestial, trouva les dernières force pour étreindre Selene. Il sentit le cœur de la demoiselle battre douloureusement contre sa poitrine et répondit à l'unisson contre son sein malgré lui. Il l'embrassa trop hâtivement dans le cou avant de la faire basculer en arrière pour plaquer son dos contre le bois. Il souleva ensuite les jambes de l'humaine pour les coincer au dessus de ses épaules suintantes, partageant un regard épuisé et plaintif avec la jeune femme. Ivari s'enfourna à nouveau d'un coup sec dans un brasier qui avait déjà pris raison de lui. Selene ouvrit grand la bouche pour laisser jaillir son plaisir et sa douleur, mais aucun son ne sortit de son visage glacé par une tension insoutenable. Le jeune homme multiplia de large coups de reins et chaque claquement contre les fesses de l'humaine lui arrachait des gémissements inévitables.
Selene habitée complètement par une tension indicible resserra ses jambes autour du dos d'Ivari, comme pour le rapprocher au plus près de lui, l'avaler entièrement. Elle plongea ses ongles dans les épaules de l'humain comme pour ne plus jamais le relâcher. Ce dernier, de douleur et de plaisir, asséna un coup de rein d'autant plus profond et se rapprocha de l'humaine pour lui mordiller l'oreille dans un râle plaintif. Selene ne retint plus la fureur qui galvanisait ses membres et cria alors que son sang n'était plus que flammes. Rien ne parvenait à arrêter ses tremblements. La sueur glacée ruisselait de son ventre et glissait sur le torse embrasé d'Ivari. L'humain ne parvenait presque plus à respirer à cause de son souffle incontrôlé et chaque mouvement était un enfer. Rien ne pourrait plus chasser la tension qui l'habitait. Il gardait sa main sur le sein de Selene pour préserver un peu de douceur puisque son corps ne lui offrait plus aucun répit, littéralement immolé par le désir.
Un cri déchirant.
Selene se cambra, tremblante, alors que le plaisir dévorait chaque parcelle de son corps impuissant. Les traits d'Ivari se crispèrent également. Son corps n'était plus qu'une carcasse soutenue par un désir enfiévré. Il s'avança rapidement pour embrasser ardemment l'humaine. Lorsque sa langue rencontra celle de Selene, sa fureur jaillit au creux de l'humaine. Une petit mort naquit de ce baiser épuisé.
Ivari s'effondra aux côtés de la demoiselle, reprenant tous deux difficilement leur souffle. Ils partagèrent un regard dont le silence ne fut brisé que par leur souffle haletant, puis échangèrent un rire et un simple baiser. L'humain réunit ses dernières forces pour soulever Selene et il la déposa encore suintante au creux des draps de son lit. Ivari s'allongea ensuite auprès d'elle, laissa sa sueur rencontrer celle de l'humaine et sa virilité maintenant reposée dans le creux de ses fesses. Son long bras étreignit la poitrine de l'humaine, qui elle se plaqua contre le torse du jeune homme, écoutant silencieusement son souffle court. Elle pouvait sentir les battements de son cœur contre son dos, apaisés, réguliers. Touts deux se contentèrent d'écouter le souffle de l'autre, main dans la main, laissant la nuit les apaiser.
Alors que le soleil ne s'était pas encore levé, Ivari s'éloigna avec une infinie douceur de Selene pour se lever et marcha à pas feutrés au travers de la pièce. Il se rapprocha de l'unique commode et se mordit la lèvre comme si cela pouvait empêcher la porte de grincer. Au bas de la commode, il distingua un petit pot de terre cuite. D'un geste lent, il ouvrit le pot et vida la poudre contenue dans celui-ci au travers d'un défaut du parquet. Ivari savait que Selene utilisait ces herbes finement broyées à des fins contraceptives. Il saisit la besace qu'il avait laissé près de la commode en début de soirée pour en sortir un bocal contenant une poudre de couleur similaire, mais parfaitement inutile. Il vida ce même bocal dans le pot en terre cuite avant de renfermer lentement ce dernier et le ranger silencieusement dans la commode. Ivari rangea enfin le bocal et revint se rallonger près de Selene toujours assoupie.
"Merci mon ange." murmura Ivari avec tendresse alors qu'il se colla doucement contre l'humaine, sa main posée sur la sienne.
Ivari Smetlov- Quidam
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Date d'inscription : 23/01/2011
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