[Accepté] Garlkar Larwrymm
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[Accepté] Garlkar Larwrymm
(HRP: J'ai fais un intro un peu longue, je m'excuse d'avance si celle-ci est penible a lire pour certains, mais je trouve que l'ont ressent plus la personnalité de mon personnage de cette manière, bonne lecture a ceux qui auront le courage de me lire, et surtout : Merci ! )
Un parchemin rédigé par quelqu'un ayant une fine ecriture, a l'attention du Talion.
Un autre document joint détaille une bonne centaine de crimes commis par Garlkar et quelques acolytes, dont l'un semble "caché" au milieu des autres : "Avoir coupé la langue et les mains de celui qui a écrit tout ça pour que ça ne s'ébruite pas"
L'air de la pièce close était humide et les effluves pestilentielles qui sortaient de ce qui avait été son compagnon de cellule lui agressaient ses narines, Garlkar marqua un jour de plus au mur, au coté d'innombrables autres traits barrés.
Il tourna la tête vers la deuxième source de puanteur, du grain qui, depuis quelques heures émettait un petit nuage vert autour de lui, ainsi qu'une ration d'eau qui ne faisait que porter ce nom tellement la couleur de celle-ci était sombre.
Doucement, il glissa jusqu'a l'aveuglante lumière qui filtrait entre les barreaux de sa cellule, le ciel passa rapidement d'une couleur bleu a verdâtre, laissant place a des cris de paniques et aux pas des soldats se mettant en rangs pour défendre la caserne.
Un pleure d'enfant attira l'attention du prisonnier qui regarda plus en détails dans la ruelle sur laquelle la fenêtre de sa cellule donnait, visiblement le courage des officiers sautait une génération, il reconnu le "p'tit marc" comme les soldats l'appelaient, un des gamins des officiers de cette caserne. Sans tarder Garlkar y vu une opportunité de s'échapper.
"Hey, gamin, par ici !" cria t'il vers l'enfant et tendant un bras en dehors de la cellule
Le gamin rampant en pleurant proche des barreaux, n'ayant pas d'autres adulte a qui se raccrocher alors que les bruits de fracas des boucliers commençaient a se faire entendre.
"Ecoute gamin, j'vais être direct, on est tout les deux dans une panade pas permis, et ton père viendra pas te sauver cette fois."
Le gosse écarquilla les yeux pour pleurer de plus belle après la phrase qui avait eu l'effet d'une massue pour lui, Garlkar reprit la parole aussitôt.
"Fais moi sortir de la et je te sauverai la peau, parole d'homme, le geôlier doit être occupé en s'moment, alors fais le tour et ouvre moi la cellule, après on ira voir ton père, ça marche?"
Le gamin hésita, puis s'engouffra par la porte de la caserne pour se diriger vers les geôles.
Pendant ce temps Garlkar observa de nouveau par la fenêtre de sa cellule, deux gardes se dirigeaient vers lui.
Garlkar attendît de voir ce qu'ils lui voulait, avant de se jeter en arrière de peur quand le bras décharné du garde tenta de l'agripper par le cou en poussant un hurlement digne de tout les romans d'épouvantes d'Azeroth réunis.
Garlkar pris de panique frappa a la porte de sa cellule en hurlant après le gamin qui aurait déjà du ouvrir la porte.
"Ouvre cette porte espèce de mioche !! Sinon je te jure que tu vas te faire bouffer ! Si tu me laisses crever ici, je reviendrais pour te hanter ! Tu peux en être sur !"
Alors que l'homme paniquait totalement, le bruit de serrure se fit entendre, la cellule s'ouvrant brutalement, propulsant de prisonnier maintenant libre dans le couloir de la caserne.
Le gamin était la, les larmes aux yeux et couvert de sang, implorant Garlkar de l'aider a trouver son père.
Garlkar afficha un sourire satisfait au gamin.
"T'en fais pas, je t'envoi retrouver ton père"
Le gamin sauta de joie, avant de se prendre un coup de botte dans le buste, ce qui le fit roulé jusque dans la cellule. La porte se ferma aussi sec, suivi du coup de clef.
L'enfant hurla de terreur, avant de rappeler qu'il avait donné sa parole d'homme et qu'il ne pouvait pas la trahir.
La voix de Garlkar, haineuse et cruelle, passa au travers de la porte de la cellule.
"Le jour on ton père m'a mis au fer, il m'a traité de chien, et la parole d'homme ne concerne que... les hommes. Adieu gamin, passe le bonjour a ton décédé de père dans l'au delà."
L'enfant pleura, avant de tourner la tête vers l'ancien compagnon de cellule de Garlkar, celui-ci avait tout d'un mort, mais aussi d'un vivant, dans ses orbites creux brillait une lueur verdâtre, il fallut peu de temps avant d'entendre des hurlements de panique et de désespoir de l'enfant dans toute la caserne.
Garlkar emprunta le couloir dans l'impassibilité la plus totale, il avait eu vent d'un passage secret que les geôliers empruntaient pour se mettre a l'abri en cas de problème avec les prisonniers, il ne lui fallut que quelques minutes avant de le trouver et de s'y engouffrer.
"Un cadre avec leur bon roi, c'est a peine discret comme passage secret...Con'd'fanatique" s'esclaffa t'il en pénétrant dans le tunnel obscur.
Quelques heures de marche plus tard, il sorti d'une caverne dans une forêt sombre, il entreprit de rejoindre le chemin de le plus proche afin de s'éloigner le plus vite possible de cet endroit.
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Au cours des mois qui suivirent Garlkar reprit son activité de bandit, mais les temps étaient difficile et l'or ne rentrait plus énormément dans les caisses , il se mit alors a chercher une nouvelle idée pour avoir des revenus, sans avoir a faire un travail tout a fait honnête de préférence.
Mais a peine sorti de cette "belle" résolution, il vit un homme rentrer jusque dans sa maison à comté-du-lac. Il entreprit d'espionner, avant d'ouvrir la porte et de tomber sur une femme, qui l'accueilla presque a bras ouverts contre toute attente.
Déçu de ne pouvoir dépouiller l'homme , il écouta malgré tout ce que lui disait la femme, se disant qu'après tout le mercenariat pourrait peut-être lui faire remplir les proches, et puis, il serait toujours temps de tous les enfler en leur arrachant une bonne partie de leur magot sur le premier gros coup venu.
Il fit semblant de partir pour retrouver l'auberge et se hissa jusqu'au toit du bâtiment pour regarder aux fenêtres de l'étage, pas de chance les tuiles étaient trop bien fixées et il était quasi impossible de fixer son grappin a l'endroit voulu.
Faisant un raffut incroyable en tenant de l'accrocher, un homme fini par sortir de la maison, deux griffes métalliques accrochées aux mains.
Garlkar se plaqua contre le toit en tout hâte, se disant qu'il manquait vraiment de chance, comme toujours. La brute monta sur le toit avant de se mettre a humer l'air et faire remarquer a haute voix que ce n'était pas un animal qui était présent.
"Mais c'est quoi ce gars?! Un tigre ou un homme? Faut toujours que je tombe sur ce genre de malade !" Hurla Garlkar dans ses pensées.
Glissant du toit pour contourner, il alla se cacher dans le buisson a coté de la porte, et se mit a attendre patiemment.
Après a peine quelques seconde un homme chauve possédant des yeux bleus surnaturels arriva par le chemin, pénétrant dans le bâtiment. Garlkar lâcha un soupir de ne pas avoir été trouvé par cet autre personnage effrayant, quand une poigne implacable vint agripper son épaule.
L'homme l'invita fermement a entrer dans la demeure, le faisant monter un escalier, puis pénétrer dans une salle ou était regroupé quelques autres personnages.
La porte se referma derrière eux, laissant le silence retomber sur le reste de la demeure...
Un parchemin rédigé par quelqu'un ayant une fine ecriture, a l'attention du Talion.
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Salutations,
Comme convenu je vous écrit sous deux jours afin de vous faire parvenir ma candidature pour intégrer vos rangs.
Ci-joint vous trouverez un autre document ou j'ai fais écrire tout les crimes que j'ai pu commettre au cours de ma vie, tout du moins les plus graves.
Je suis désireux de rentrer dans vos rangs car comme je l'ai dis a certains d'entre vous, "J'aime ce qui brille", je ferais en sorte de respecter vos règles et de m'intégrer afin d'être opérationnel le plus vite possible.
Je propose mes services en tant qu'Espion de talent, messager et combattant au corps a corps.
Mon véritable prénom et nom : Garlkar Larwrymm
Comme vous me l'aviez demandé je montre patte blanche, je compte sur vous pour prendre ma candidature au sérieux, la raclure que je suis vous en serait reconnaissant.
Oh et, si j'intègre vos rangs, j'aimerais bien que votre chasseuse de démon me prenne sous ses jumelles, si vous voyez ce que je veux dire.
GL.
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Un autre document joint détaille une bonne centaine de crimes commis par Garlkar et quelques acolytes, dont l'un semble "caché" au milieu des autres : "Avoir coupé la langue et les mains de celui qui a écrit tout ça pour que ça ne s'ébruite pas"
Garlkar- Quidam
- Messages : 8
Date d'inscription : 03/02/2010
Age : 35
Localisation : île de france
Feuille de personnage
Race: Humain
Age: 31
Classe visible: Non
Re: [Accepté] Garlkar Larwrymm
Circé regarda la lettre, dans l'expectative. Elle n'y pensait déjà plus...Les événements de l'autre soir ayant pris le pas sur tout autre chose.
Cet homme était un fieffé larron, cela ne faisait aucun doute... mais il était sympathique. Cela suffisait-il pour faire de lui un homme sur qui elle pourrait compter ? Elle en doutait.
Le Talion était sa famille. La confiance en était la chose la plus importante à ses yeux... Et elle se sentait si vite trahie. N'en avait-elle pas encore eu la preuve hier au soir ?
Il fallait à tout pris qu'elle discute avec ses officiers de cette histoire d'amnistie... Elle n'était toujours pas pour et se demandait qu'elle pouvait être leur sentiment à ce sujet.
Prenant une plume et un vélin, elle traça d'une écriture fluide, ne prenant pas même la peine de s'asseoir :
[A la lettre est joint le parchemin que tu avais envoyé, toujours scellé. Visiblement personne n'y a touché.]
Cet homme était un fieffé larron, cela ne faisait aucun doute... mais il était sympathique. Cela suffisait-il pour faire de lui un homme sur qui elle pourrait compter ? Elle en doutait.
Le Talion était sa famille. La confiance en était la chose la plus importante à ses yeux... Et elle se sentait si vite trahie. N'en avait-elle pas encore eu la preuve hier au soir ?
Il fallait à tout pris qu'elle discute avec ses officiers de cette histoire d'amnistie... Elle n'était toujours pas pour et se demandait qu'elle pouvait être leur sentiment à ce sujet.
Prenant une plume et un vélin, elle traça d'une écriture fluide, ne prenant pas même la peine de s'asseoir :
Le 4ème jour du IIème grand cycle de l'an 30
Messire,
J'accuse bonne réception de votre candidature, soyez assuré qu'elle sera traité avec le plus grand sérieux. Nous vous demanderons cependant de la patience dans son traitement. Comme je vous l'avais annoncé, les accords avec le Royaume d'Hurlevent ne sont pas encore passés et il ne saurait donc être question de vous incorporer à nos rangs pour l'heure.
Je vous renvois donc le parchemin scellé qui, j'imagine, doit être la confession des crimes dont vous souhaitez être amnistié. Vous ne nous le remettrez que lorsque vous signerez votre contrat de recrue.
Je suis navrée d'avoir à vous demander de prendre patience mais je tiens à ce que les choses soient faites dans les règles.
En attendant, vous êtes, bien entendu, le bienvenu au mess. Nous pourrons mettre ce temps à profit pour faire plus ample connaissance.
Avec mes plus sincères salutations,
Pour la compagnie du talion,
Le capitaine,
Circé Arlann
[A la lettre est joint le parchemin que tu avais envoyé, toujours scellé. Visiblement personne n'y a touché.]
Circé Arlann- Mercenaire
- Messages : 372
Date d'inscription : 21/07/2009
Feuille de personnage
Race: Humaine
Age: 28 ans
Classe visible: Mage
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